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La Pochette de Costume : Un Geste, Un Style

harrymariette

Chez Le Tailleur, chaque détail a son importance. Et parmi les accessoires qui transforment un costume en déclaration d’élégance, la pochette occupe une place discrète… mais essentielle. Voici trois questions fondamentales autour de ce petit carré de tissu qui fait toute la différence.



1. D'où vient la pochette ?

La pochette trouve ses racines au XIXe siècle. À l’époque, les gentlemen portaient un mouchoir parfumé dans leur poche poitrine, non pour s’en servir, mais pour affirmer leur statut et leur raffinement. Ce geste, d’abord pratique, devient très vite une signature d’élégance. Dans les années folles, les dandys la transforment en accessoire de mode à part entière. Couleurs, motifs, pliages : la pochette devient un terrain de jeu pour les amateurs de style.


2. Est-il obligatoire d’en porter une ?

Rien n’est obligatoire… sauf le bon goût. Porter une pochette n’est pas une règle imposée, mais un choix délibéré. Un costume sans pochette est parfaitement correct. Un costume avec pochette devient immédiatement plus personnel, plus vivant, plus audacieux. C’est ce supplément d’âme qui donne du relief à une tenue. Chez Le Tailleur, nous pensons que la pochette n’est pas un caprice : c’est un signe de soin, une preuve d’intention, un petit luxe que l’on s’accorde pour soi.


3. Doit-elle être assortie à la cravate ?

Surtout pas. Assortir strictement la pochette à la cravate – même tissu, même motif – donne un effet figé, sans imagination. Le raffinement naît du contraste subtil, du dialogue entre les matières et les teintes. Une cravate texturée en laine s’accorde très bien avec une pochette en soie fluide. Un imprimé géométrique appelle une teinte unie. Chez Le Tailleur, nous vous conseillons de choisir une pochette qui évoque une couleur présente dans la tenue, sans la répéter. Elle doit créer la surprise, pas l’évidence.


Chez Le Tailleur, au 88 rue Tenbosch à Ixelles, chaque costume est pensé comme une œuvre unique, et la pochette en est la signature finale. Un carré de tissu, oui. Mais un monde d’élégance à lui seul.



 
 
 

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